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« Prendre des notes chaque jour, c’est comme maintenir un dialogue continu avec soi-même. On se découvre avec ses envies, ses doutes, ses contradictions, son imagination. Écrire un journal, c’est garder vivant ce qui est parti. Un journal n’a rien de définitif : chacun l’interprétera à sa façon. Le récit intimiste côtoie les petites et les grandes tragédies du monde. Les souvenirs sur le vif, c’est de l’histoire qui vibre, de l’histoire encore vivante. »Qu’arrive-t-il lorsqu’un homme d’affaires québécois qui parcourt le monde et qui a consacré de précieuses années à la politique accumule des carnets noircis de notes? Sous la plume de Dominique Lebel, ces notes se transforment en un récit qui épouse les travers et les grandeurs de ses contemporains, un journal à la prose alerte et agile, nourri par un amour passionné des livres.Entre le privé et le public, entre le littéraire et le politique, entre la ville et la campagne, entre l’étranger et le Québec, entre le monde d’hier et celui de demain, en cette époque qui fait mentir toutes les certitudes et les prédictions, tandis qu’on nous rebat les oreilles avec l’idée que les États sont obsolètes, que le Québec se meurt, que les livres ne comptent plus, Dominique Lebel nous donne avec ce journal une lecture étonnante, prenante et salutaire.
« Prendre des notes chaque jour, c’est comme maintenir un dialogue continu avec soi-même. On se découvre avec ses envies, ses doutes, ses contradictions, son imagination. Écrire un journal, c’est garder vivant ce qui est parti. Un journal n’a rien de définitif : chacun l’interprétera à sa façon. Le récit intimiste côtoie les petites et les grandes tragédies du monde. Les souvenirs sur le vif, c’est de l’histoire qui vibre, de l’histoire encore vivante. »Qu’arrive-t-il lorsqu’un homme d’affaires québécois qui parcourt le monde et qui a consacré de précieuses années à la politique accumule des carnets noircis de notes? Sous la plume de Dominique Lebel, ces notes se transforment en un récit qui épouse les travers et les grandeurs de ses contemporains, un journal à la prose alerte et agile, nourri par un amour passionné des livres.Entre le privé et le public, entre le littéraire et le politique, entre la ville et la campagne, entre l’étranger et le Québec, entre le monde d’hier et celui de demain, en cette époque qui fait mentir toutes les certitudes et les prédictions, tandis qu’on nous rebat les oreilles avec l’idée que les États sont obsolètes, que le Québec se meurt, que les livres ne comptent plus, Dominique Lebel nous donne avec ce journal une lecture étonnante, prenante et salutaire.
