couverture

Wildwood

Seymour, Johanne

  • Éditeur : Libre Expression
  • Collection : Expression noire
  • ISBN 9782764810118
  • Paru le 15 septembre 2014
  • 24,95 $ *
  • Littérature québécoise

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Résumé

1968... Michelle a seize ans et n'a qu'une idée en tête : quitter l'adolescence qui lui pourrit la vie. Elle rêve de connaître l'amour dans les bras d'un lifeguard lors des vacances familiales à Wildwood. Mais le monde autour d'elle est en révolution. Et cet été sur la plage, en compagnie de ses amis américains, elle connaîtra l'amour en même temps que les ravages de la guerre du Vietnam.La découverte du cadavre d'une femme sous la promenade qui longe la mer lui fera comprendre que la violence a des ramifications profondes. Que l'amour n'a rien à voir avec les films à l'eau de rose dont elle s'abreuve. Car il y a l'amour des hommes et la violence des hommes. Et, surtout, il y a les hommes victimes d'une violence qu'ils s'imposent au nom de la liberté, de la justice et de l'équilibre économique.Cet été de 1968, ce n'est pas son adolescence que Michelle va laisser derrière elle, c'est son innocence.

Biographie de l'auteur.e

Johanne Seymour est comédienne, scénariste (Santa Maria, Diva, Séquelles), metteure en scène (Merci beaucoup?!, Jacques et Normand sans protection, Des vrais hommes) réalisatrice (Emma, Cent titres, La Dernière Pomme) et romancière. Le Cri du cerf, son premier roman, est publié en 2005 et Kate McDougall, sa détective fétiche, conquit aussitôt les lecteurs. Eaux fortes, paru en 2012 chez Libre Expression (coll. Expression Noire), est le cinquième et dernier volet des enquêtes McDougall. Les romans de cette série ont été, tour à tour, finalistes au Prix de la relève Archambault, au Grand Prix Archambault, au prix Saint-Pacôme ainsi qu'au prix Arthur Ellis. Séquelles, la minisérie télévisée que l'auteure a scénarisée et adaptée de son roman Le Cri du cerf, a été diffusée sur les ondes de Séries au printemps 2016 et a enregistré des cotes d'écoute jamais égalées pour les productions maison de cette chaîne spécialisée. Outre la série des enquêtes McDougall, Johanne Seymour a écrit Wildwood, un roman d'apprentissage sur fond noir remarqué par la critique, ainsi que Rinzen et l'homme perdu, finaliste au prix Arthur Ellis 2017 du meilleur roman policier de langue française. De Rinzen et l'homme perdu, on a dit : «? Il y a chez les protagonistes, autant que dans la narration, une si grande richesse de couleurs, qu'il permet d'entrevoir que cette nouvelle série marquera la littérature d'ici.?» (D. Marois, Huffington Post) Rinzen, la beauté intérieure, le deuxième opus de la série Gyatso, paru à l'automne 2018, a été finaliste au prix Arthur Ellis 2019 du meilleur roman policier de langue française ainsi qu'au prix Saint-Pacôme 2019 du meilleur roman policier. «? Une double enquête qui nous secoue aussi bien par la terrifiante menace d'un trafic originaire de la sinistre ville de Ciudad Juarez que par les inquiétantes questions que génère l'attitude inexplicable d'un homme brisé. Entre l'intime et l'international, une ambiance très sombre qui réjouira les amateurs de polars. Ils retrouveront avec grand plaisir Rinzen, sa sagesse (et celle de sa mère Opame), sa perspicacité et son empathie.?» (Chrystine Brouillet, Salut Bonjour Weekend) Johanne Seymour est également la fondatrice du festival international de littérature policière Les Printemps meurtriers de Knowlton (2012-2016). Elle travaille présentement sur Danse-moi, une adaptation télévisuelle inspirée des personnages de la série Rinzen Gyatso. Le Goût de l'élégance est son neuvième roman. www.johanneseymour.com

Quatrième de couverture

1968... Michelle a seize ans et n'a qu'une idée en tête : quitter l'adolescence qui lui pourrit la vie. Elle rêve de connaître l'amour dans les bras d'un lifeguard lors des vacances familiales à Wildwood. Mais le monde autour d'elle est en révolution. Et cet été sur la plage, en compagnie de ses amis américains, elle connaîtra l'amour en même temps que les ravages de la guerre du Vietnam.La découverte du cadavre d'une femme sous la promenade qui longe la mer lui fera comprendre que la violence a des ramifications profondes. Que l'amour n'a rien à voir avec les films à l'eau de rose dont elle s'abreuve. Car il y a l'amour des hommes et la violence des hommes. Et, surtout, il y a les hommes victimes d'une violence qu'ils s'imposent au nom de la liberté, de la justice et de l'équilibre économique.Cet été de 1968, ce n'est pas son adolescence que Michelle va laisser derrière elle, c'est son innocence.