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Le narrateur, qui apprécie l'hygiénisme de la société contemporaine, remarque pourtant que la gestion des déchets humains devrait être individuelle et non collective. Avec ironie, il finit par défendre l'ordure comme un bien propre que chacun devrait cultiver comme son jardin. Premier roman.
Car l'ordure est contagieuse.
François Tison.