couverture

Un jour, tu raconteras cette histoire

Maynard, Joyce

  • Éditeur : P. Rey
  • ISBN 9782848766096
  • Paru le 10 octobre 2017
  • 35,95 $ *
  • Essais

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Résumé

La romancière raconte comment sa rencontre avec Jim, à 55 ans, lui a redonné foi en l'amour. Trois ans plus tard leur bonheur est bouleversé par l'annonce d'un cancer du pancréas chez Jim. Elle évoque la lutte contre la maladie, les instants de découragement et les espoirs de guérison, mettant en avant la force de l'amour qui les unissait.

Quatrième de couverture

Après un mariage raté, un douloureux divorce et quelques brèves histoires, à cinquante-cinq ans, Joyce Maynard n'attend plus grand-chose des relations sentimentales. Et pourtant. Sa rencontre avec Jim vient tout bouleverser : l'amour comme elle ne l'imagine plus, qui lui fera même accepter de se remarier.. En 2014, après trois ans de bonheur, on diagnostique chez Jim un cancer du pancréas. Au cours des dix-neuf mois qui suivent, alors qu'ils luttent ensemble contre la maladie, Joyce, d'habitude si jalouse de son indépendance, découvre ce que signifie être un véritable partenaire, en dépit de la souffrance, de l'angoisse, du désespoir qui menace à chaque instant.. « Un jour, tu raconteras cette histoire », lui avait dit Jim avec tendresse. C'est chose faite. Joyce Maynard retrace ces années heureuses ponctuées de voyages, de petites et grandes folies, de bonheurs du quotidien - dîners sur leur terrasse près de San Francisco, escapades à moto, concerts de rock, baignades dans les lacs du New Hampshire ou du Guatemala. Puis elle confie leur combat, leurs espoirs de guérison, les opérations et les médicaments, sa colère contre le sort, sa fatigue parfois, mais surtout la force de l'amour qui les unit.. Avec sensibilité et finesse, Joyce Maynard se met à nu dans un texte empli de joies et de larmes, un récit sur l'amour et la perte, une histoire bouleversante qui a permis à chacun d'offrir à l'autre le meilleur de lui-même.. « Alors qu'il ne restait presque rien de l'homme que j'avais aimé, presque rien de nous deux et de notre vie ensemble, tandis que nous approchions du moment où tout serait terminé, j'avais paradoxalement l'impression que l'épreuve de la maladie et du traitement avait fait de nous des gens meilleurs. Même si, de nous deux, j'allais être la seule à survivre. ».