couverture

Grands textes indépendantistes, 1992-2003 (Les)

Ferreti, Andrée

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Résumé

Voici la suite inédite de la première anthologie des Grands textes indépendantistes, qui s'arrêtait en 1992. La présente anthologie couvre la période, riche en rebondissements politiques, qui va de 1992 à 2003. Elle contient beaucoup de textes écrits à l'occasion du référendum de 1995, dont le ton général indique déjà un infléchissement du discours indépendantiste. Les Québécoises et Québécois dits de souche semblent sortis de la névrose collective, qui les amenait à se définir par le regard de l'autre, et revoient leur argumentaire pour convaincre leurs compatriotes « venus d'ailleurs ». Mais le débat prend aussi une autre orientation. Plutôt que de s'interroger seulement sur le pourquoi de l'option souverainiste, on discute de plus en plus du comment – des stratégies à mettre en oeuvre pour obtenir un État indépendant et de l'épuisement de l'étapisme péquiste. Enfin, au cours de cette période, de nouvelles voix se font entendre, ce qui prouve encore une fois que le projet d'indépendance est désormais porté par trois générations.

Biographie de l'auteur.e

Militante indépendantiste de la première heure, Andrée Ferretti s'est tournée vers l'écriture au début des années quatre-vingt. L'analyse historique, la réflexion philosophique et l'oeuvre de fiction ont peu à peu remplacé les discours politiques; sans rupture toutefois puisque, chez elle, l'oeuvre n'existe qu'enracinée dans une lutte contre toute forme de domination. Elle a remporté le prix Alfred-DesRochers pour son roman Bénédicte sous enquête paru chez VLB éditeur en 2008.

Quatrième de couverture

Voici la suite inédite de la première anthologie des Grands textes indépendantistes, qui s'arrêtait en 1992. La présente anthologie couvre la période, riche en rebondissements politiques, qui va de 1992 à 2003. Elle contient beaucoup de textes écrits à l'occasion du référendum de 1995, dont le ton général indique déjà un infléchissement du discours indépendantiste. Les Québécoises et Québécois dits de souche semblent sortis de la névrose collective, qui les amenait à se définir par le regard de l'autre, et revoient leur argumentaire pour convaincre leurs compatriotes « venus d'ailleurs ». Mais le débat prend aussi une autre orientation. Plutôt que de s'interroger seulement sur le pourquoi de l'option souverainiste, on discute de plus en plus du comment – des stratégies à mettre en oeuvre pour obtenir un État indépendant et de l'épuisement de l'étapisme péquiste. Enfin, au cours de cette période, de nouvelles voix se font entendre, ce qui prouve encore une fois que le projet d'indépendance est désormais porté par trois générations.