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Une femme déracinée et seule cherche refuge auprès du chêne rouge qu’elle voit depuis la fenêtre de sa chambre. Pendant sa longue nuit, elle n’aura pour compagnon que le silence et la nature. Il y aura fusion entre le corps de la femme et la forêt, entre les meubles et le bois, entre le maintenant et le passé.À travers la tourmente, le chêne rouge tiendra bon, et elle se retrouvera debout comme aux premiers jours de la parole.
Vagabonde, Justine Coux est arrivée à Québec il y a 11 ans. Tout comme Emmanuel, dans Côtnoir de Jacques Ferron, elle y a trouvé un lieu qui lui a permis d’accéder à la parole. Elle a même commencé à croire que l’enracinement est possible pour elle. Carnets du chêne rouge a reçu une mention honorable au prix de poésie Rolande-Gauvin 2011.
Une femme déracinée et seule cherche refuge auprès du chêne rouge qu’elle voit depuis la fenêtre de sa chambre. Pendant sa longue nuit, elle n’aura pour compagnon que le silence et la nature. Il y aura fusion entre le corps de la femme et la forêt, entre les meubles et le bois, entre le maintenant et le passé.À travers la tourmente, le chêne rouge tiendra bon, et elle se retrouvera debout comme aux premiers jours de la parole.