couverture

Dictature du bonheur (La)

Élie-Morin, Marie-Claude

  • Éditeur : VLB ÉDITEUR
  • ISBN 9782896496273
  • Paru le 30 mars 2015
  • 19,95 $ *
  • Essais

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Résumé

L'industrie des coachs de vie, du développement personnel et du self-help est plus florissante que jamais. Le bonheur est devenu un impératif, au même titre que la minceur et le succès professionnel. Santé physique, équilibre mental, vie de couple, finances : on met constamment en avant la nécessité d'avoir toujours une attitude volontaire et « positive », parfois au mépris de la réalité. Marie-Claude Élie-Morin l'a réalisé de la manière la plus intime qui soit au décès de son père. Dans ce livre, elle expose avec humour et discernement les vicissitudes d'une manière de penser qui fait que beaucoup de gens en arrivent à se blâmer d'être malades, malheureux, seuls ou pauvres. À force de nous répéter que nous sommes les seuls artisans de notre bien-être, la dictature du bonheur ne serait-elle pas en train de nous isoler des autres et de nous couper de nous-mêmes ?

Biographie de l'auteur.e

Marie-Claude Élie-Morin est journaliste indépendante, chroniqueuse, recherchiste et scénariste en documentaire. Elle s'intéresse aux enjeux de société qui ont un impact dans nos vies intimes, et a collaboré à plusieurs publications et projets télévisuels depuis quinze ans.

Quatrième de couverture

L'industrie des coachs de vie, du développement personnel et du self-help est plus florissante que jamais. Le bonheur est devenu un impératif, au même titre que la minceur et le succès professionnel. Santé physique, équilibre mental, vie de couple, finances : on met constamment en avant la nécessité d'avoir toujours une attitude volontaire et « positive », parfois au mépris de la réalité. Marie-Claude Élie-Morin l'a réalisé de la manière la plus intime qui soit au décès de son père. Dans ce livre, elle expose avec humour et discernement les vicissitudes d'une manière de penser qui fait que beaucoup de gens en arrivent à se blâmer d'être malades, malheureux, seuls ou pauvres. À force de nous répéter que nous sommes les seuls artisans de notre bien-être, la dictature du bonheur ne serait-elle pas en train de nous isoler des autres et de nous couper de nous-mêmes ?