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Les démons du capitalisme se veut un ouvrage de vulgarisation pour comprendre ce qui s’est passé pour en arriver à cette crise, démonter la mécanique de celle-ci et en identifier ses causes. Il répond également aux questions que tout le monde se pose: Qui est responsable? Était-ce évitable? Cet ouvrage analytique décrit le plus sobrement et clairement possible le choc boursier, la récession qui frappe la plupart des pays actuellement, et ce, sans tomber dans le sensationnalisme. Il fait la preuve que la récession qui frappe à nos portes est sérieuse, mais ne constitue pas une crise semblable à celle de 1929, particulièrement au Canada et au Québec.
Alain Dubuc, chroniqueur à La Presse, et économiste de formation, pose dix questions sur la grande crise financière. Les démons du capitalisme se veut un ouvrage de vulgarisation pour comprendre ce qui s’est passé pour en arriver à cette crise, démonter la mécanique de celle-ci et en identifier ses causes. Il répond également aux questions que tout le monde se pose: Qui est responsable? Était-ce évitable? Cet ouvrage analytique décrit le plus sobrement et clairement possible le choc boursier, la récession qui frappe la plupart des pays actuellement, ce, sans tomber dans le sensationnalisme. Il fait la preuve que la récession qui frappe à nos portes est sérieuse, mais ne constitue pas une crise semblable à celle de 1929, particulièrement au Canada et au Québec. L’auteur dénonce la dérive des valeurs et le capitalisme de «cowboys», avec sa logique de fuite en avant, d’appât du gain, avec son culte des marchés, qui nous a mis dans ce pétrin. Et il conclut sur le fait que le capitalisme n’est certainement pas mort, mais que ses variantes les plus sauvages viennent de subir un dur coup. L’ouvrage spécule sur l’avenir, sur la façon dont cette crise changera nos vies. Il ouvre la porte à un monde plus vert, où les gouvernements seront plus présents. Un monde plus sobre, où il faudra être plus prudents, plus économes, et où il faudra modérer nos attentes et nos appétits, mais aussi un monde où, plus que jamais, il faudra continuer à créer de la richesse, en apprenant à le faire intelligemment.
