couverture

Cuisinière d'Himmler (La)

Giesbert, Franz-Olivier

  • Éditeur : Gallimard
  • Collection : Folio
  • 416 pages
  • ISBN 9782070459704
  • Paru le 1 décembre 2014
  • 15,95 $ *
  • Littérature étrangère

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Résumé

Ceci est l’épopée drolatique d’une cuisinière qui n’a jamais eu peur de rien. Personnage loufoque et truculent, Rose a survécu aux abjections de cet affreux XXe siècle qu’elle a traversé sans rien perdre de sa sensualité ni de sa joie de vivre. Entre deux amours, elle a tout subi : le génocide arménien, les horreurs du nazisme, les délires du maoïsme. Mais, chaque fois, elle a ressuscité pour repartir de l’avant. Grinçant et picaresque, ce livre raconte les aventures extraordinaires d’une centenaire scandaleuse qui a un credo : Si l’Enfer, c’est l’Histoire, le Paradis, c’est la vie.

Biographie de l'auteur.e

Franz-Olivier Giesbert est né en 1949, à Wilmington, dans le Delaware, aux Etats-Unis, d’un père américain et d’une mère française. Il arrive en France à l’âge de trois ans. Après avoir collaboré à la page littéraire de Paris-Normandie, il entre au Nouvel Observateur en 1971. Successivement journaliste politique, grand reporter, correspondant à Washington, chef du service politique, il devient directeur de la rédaction de l’hebdomadaire à partir de 1985. En 1988, il est nommé directeur de la rédaction du Figaro. Depuis 2000, il est directeur du Point. Il a publié plusieurs romans dont L’Affreux (Grand Prix du roman de l’Académie française 1992), La souille (prix Interallié 1995), Le sieur Dieu, L’immortel, Le huitième prophète, Le Lessiveur, Un très grand amour, La cuisinière d’Himmler et des biographies: François Mitterrand ou La tentation de l’Histoire (prix Aujourd’hui 1977), Jacques Chirac (1987), Le Président (1990), François Mitterrand, une vie (1996) et La tragédie du Président (2006).

Quatrième de couverture

Ceci est l’épopée drolatique d’une cuisinière qui n’a jamais eu peur de rien. Personnage loufoque et truculent, Rose a survécu aux abjections de cet affreux XX<sup>e</sup> siècle qu’elle a traversé sans rien perdre de sa sensualité ni de sa joie de vivre.