couverture

Athéna

Banville, John

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Résumé

Condamné pour le meurtre d'une femme et récemment libéré, Morrow accepte d'authentifier 8 tableaux de maîtres. Dans la maison qui les abrite, il rencontre une brune mystérieuse avec laquelle il vit une passion violente. Mais elle disparaît dès qu'elle se trouve en présence d'autres que lui. Est-elle réelle ? Que dire des personnages des tableaux qui deviennent ceux du roman ? Booker Prize 2005.

Quatrième de couverture

« Banville est un maître. » The Times . « Un orfèvre des mots. » Newsday . « Quand je suivis cette (ô combien !) parfaite étrangère, je n'avais pas d'autre idée en tête que de savoir où elle allait. (...) Elle portait une robe noire à manches courtes et des talons ridiculement hauts sur lesquels elle marchait d'un pas chancelant mais rapide, son sac serré contre son sein, son cou mince projeté vers l'avant et sa tête baissée, de sorte qu'à chaque claquement de ses talons, elle semblait contempler le bord d'un précipice béant. Très pâle, avec une frange de cheveux noirs coupés au carré (ma Lulu !), des épaules étroites portées haut et des jambes très fines... sous le soleil de cette journée chaude, elle était étrange dans tout ce noir... une veuve de fraîche date se rendant chez le notaire pour la lecture du testament. ». Morrow, historien de l'art, accepte d'authentifier huit tableaux de maître d'une provenance obscure. Dans la maison presque vide qui les abrite, il rencontre une mystérieuse femme brune, A. Tous deux vivent une passion violente, aussi violente que les scènes mythologiques des tableaux, illustrant un désir meurtrier. Mais dès qu'ils ne sont plus seuls, A. disparaît, comme si elle avait jailli d'une toile pour se jouer de Morrow.... Mi-conte philosophique, mi-polar, un puzzle brillant sur la confusion de la vie et de l'art..