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En juin 2010, Mélusine Mallender part en moto en direction de l'Est et arrive à Vladivostok quatre mois plus tard. Elle continue ses périples durant dix ans, traversant plus de cinquante pays comme l'Iran, le Rwanda ou le Pakistan. Elle décrit ses voyages et ses rencontres tout en se questionnant sur la notion de liberté, différente selon le pays considéré et selon le genre d'un individu.
Parcourant le monde seule sur sa moto, Mélusine Mailender s'est lancée à la poursuite de la liberté. Pour elle-même mais surtout pour les femmes des pays qu'elle traverse. . Juin 2010 : Mélusine décide de partir seule avec sa vieille moto 125 cm3 pour « aller le plus loin possible » en direction de l'est. On lui prédit qu'elle ne dépassera pas le périphérique parisien. Quatre mois plus tard, elle arrive pourtant à Vladivostok, où la mer du Japon l'arrête.. À sa manière, elle a trouvé dans ce voyage initiatique hors du commun ce qu'elle était partie chercher : sa liberté. Mais elle revient avec de nombreuses questions sur cette notion de liberté, différemment vécue d'un pays à l'autre, plus particulièrement par les femmes.. Alors elle décide de repartir, toujours sur sa moto, véritable vecteur de rencontres. Du Moyen-Orient à l'Asie centrale, de l'Asie du Sud à l'Afrique de l'Est, elle traverse des contrées que l'on connaît mal et dont on a parfois une image négative : Iran, Rwanda, Myanmar, Pakistan, Somaliland.... Plus de cinquante pays, cent mille kilomètres, quinze films et des milliers de rencontres et interviews plus tard, elle raconte la genèse de sa quête..
