couverture

Renards et les lions (Les)

Les Médicis, Machiavel et la ruine de l'Italie

Simonetta, Marcello

  • Éditeur : Albin Michel
  • ISBN 9782226439604
  • Paru le 7 octobre 2019
  • 36,95 $ *
  • Histoire

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Résumé

Récit de la vie des fils de Laurent de Médicis : Pierre dit le Fou, Julien le Bon et Jean le Sage, qui devint le pape Léon X et qui dissimulait derrière une réputation de sagesse une soif du pouvoir et une férocité intenses. L'auteur trace le portrait d'une Italie renaissante, entre 1492 et 1527, avec ses jeux de pouvoir, de trahison, d'amour et de haine, sous le regard critique de Machiavel.

Quatrième de couverture

Les renards et les lions . Les Médicis, Machiavel et la ruine de l'Italie . Quel fut le destin de la lignée de Laurent de Médicis ? De ses trois fils, Pierre était dit le Fou, Julien le Bon, qui fut peut-être l'amant de Mona Lisa, et Jean le Sage ou le Renard, qui devint le pape Léon X et dont la réputation de sagesse et de générosité dissimulait en réalité une soif de pouvoir et une férocité sans bornes.. Exhumant, après des années de recherche, d'obscures archives, Marcello Simonetta nous fait pénétrer dans les coulisses de la célèbre dynastie florentine, depuis la mort de Laurent le Magnifique en 1492 jusqu'au sac de Rome par Charles Quint en 1527, depuis l'apogée de cette génération de grands mécènes et d'habiles politiciens jusqu'à sa faillite finale.. À travers une galerie de portraits pittoresques de ducs et de cardinaux, de banquiers et d'aventuriers, de politiciens et de philosophes, de courtisans et de bouffons, Marcello Simonetta dresse le tableau d'une Italie renaissante qui, sous le vernis étincelant des arts, du faste et de la religion, est le théâtre d'une vie politique orageuse et corrompue, où s'affrontent les personnages les plus rusés et les plus léonins.. Sous le regard critique de Machiavel, les protagonistes de cette fresque aux allures de roman policier sur les mystères de la Renaissance nous révèlent que, si les Borgia ont été de fiers serviteurs du mal, les Médicis, eux, furent d'hypocrites apôtres du bien..