couverture

Anne-- au Domaine des peupliers

Montgomery, Lucy Maud

  • Éditeur : Québec-Amérique
  • Collection : QA compact
  • 321 pages
  • ISBN 9782764404324
  • Paru le 29 juin 2005
  • 12,95 $ *
  • Littérature québécoise

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Résumé

Voici le plus grand classique canadien-anglais de tous les temps, vendu à plus de 60 millions d’exemplaires, traduit en 40 langues et adapté plusieurs fois pour le cinéma et la télévision. L’histoire de cette petite orpheline de l’Île-du-Prince-Édouard a véritablement envoûté les jeunes et les moins jeunes!Comme dans les romans précédents, on trouve dans Anne au Domaine des Peupliers beaucoup d’humour, de tendresse et de réflexion. Comme quoi la vie quotidienne, relatée allègrement et avec une grande lucidité, peut aussi engendrer l’émerveillement et la joie de vivre.Au Domaine des Peupliers, la nouvelle demeure d’Anne, il y a tante Kate et tante Chatty, deux sympathiques veuves, le chat Dusty Miller, et surtout, Rebecca Dew, une grognonne au cœur d’or dont les réparties font notre joie. Il y a aussi la nature omniprésente, les vacances à Avonlea, avec Marilla, Mme Lynde, les jumeaux… et Gilbert Blythe, dont Anne est séparée et à qui elle écrit fidèlement.

Biographie de l'auteur.e

Née à l'Île-du-Prince-Édouard en 1874, Lucy Maud Montgomery, comme plusieurs de ses héroïnes, s'est retrouvée orpheline très tôt. Élevée par ses grands-parents, elle a vécu une enfance difficile. Rêvant de devenir écrivaine, Lucy Maud a commencé à écrire à l'âge de neuf ans en tenant son journal intime dans la petite ville de Cavendish, qui ressemble à s'y méprendre au village d'Avonlea où se déroule l'histoire de sa célèbre Anne. Elle a tour à tour été institutrice et journaliste avant de devenir romancière et finalement l'une des auteures canadiennes les plus connues dans le monde.

Quatrième de couverture

Extrait :Les Pringle forment une sorte de clan; ils se surveillent les uns les autres et se chamaillent passablement entre eux mais se serrent les coudes devant tout étranger. Je dois en arriver à la conclusion qu’il n’existe que deux types de personnes à Summerside… les Pringle et les autres.Ma classe est pleine de Pringle et dans les veines d’un grand nombre d’autres élèves portant un autre nom coule du sang Pringle. Le chef de file semble être Jen Pringle, une jeune fille aux yeux verts qui ressemble à ce que Becky Sharp devait avoir l’air à quatorze ans. Je crois qu’elle est délibérément en train d’organiser une subtile campagne d’insubordination et d’irrespect avec laquelle il me sera difficile de composer. Elle a le don de faire des grimaces irrrésistiblement comiques et, lorsque j’entends une cascade de rires étouffés dans mon dos, je sais parfaitement bien ce qui en est la cause, même si je n’ai jamais réussi à la prendre sur le fait. Elle est douée aussi… la petite peste!