couverture

Retour du bon sauvage (Le)

La matrice religieuse de l'écologisme

Blanchet-Gravel, Jérôme

  • Éditeur : BORÉAL
  • 266 pages
  • ISBN 9782764624081
  • Paru le 19 octobre 2015
  • 24,95 $ *
  • Environnement

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Résumé

Voici un livre étonnant, dérangeant et nécessaire. Jérôme Blanchet-Gravel rappelle d’abord que l’écologie est une science de l’environnement qui propose des solutions de rechange rationnelles au modèle économique actuel. Cependant, depuis que l’Occident est considéré comme le principal, sinon comme l’unique responsable du dérèglement du climat, l’écologie a engendré une dérive persistante : l’écologisme. L’écologisme est une religion politique dont les grands prêtres font les manchettes en réclamant le retour du bon sauvage. La logique est la suivante : si le modèle de développement occidental est à l’origine de la crise environnementale, appelons en renfort la culture orientale et les pratiques primitives pour contrer la dégradation des écosystèmes. L’écologisme s’inscrit aussi dans une dynamique apocalyptique et réactionnaire. Le fondamentalisme environnemental prophétise la fin des temps, confond la droite et la gauche, invente l’écoféminisme, s’habille des oripeaux du multiculturalisme et tend à placer la nature au-dessus de l’homme. Pour certains, la conversion aux religions païennes pourrait même permettre à l’Occident de mettre un terme à la culture matérialiste dont il serait l’unique représentant.Il est temps, écrit Jérôme Blanchet-Gravel, de revenir à la science pour affronter la réalité.

Quatrième de couverture

Voici un livre étonnant, dérangeant et nécessaire. Jérôme Blanchet-Gravel rappelle d’abord que l’écologie est une science de l’environnement qui propose des solutions de rechange rationnelles au modèle économique actuel. Cependant, depuis que l’Occident est considéré comme le principal, sinon comme l’unique responsable du dérèglement du climat, l’écologie a engendré une dérive persistante : l’écologisme. L’écologisme est une religion politique dont les grands prêtres font les manchettes en réclamant le retour du bon sauvage. La logique est la suivante : si le modèle de développement occidental est à l’origine de la crise environnementale, appelons en renfort la culture orientale et les pratiques primitives pour contrer la dégradation des écosystèmes. L’écologisme s’inscrit aussi dans une dynamique apocalyptique et réactionnaire. Le fondamentalisme environnemental prophétise la fin des temps, confond la droite et la gauche, invente l’écoféminisme, s’habille des oripeaux du multiculturalisme et tend à placer la nature au-dessus de l’homme. Pour certains, la conversion aux religions païennes pourrait même permettre à l’Occident de mettre un terme à la culture matérialiste dont il serait l’unique représentant.Il est temps, écrit Jérôme Blanchet-Gravel, de revenir à la science pour affronter la réalité.