couverture

Fils emprunté : une enquête de Jérôme Marceau (Le)

Savoie, Jacques

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Résumé

Jérôme Marceau est maintenant à la tête des homicides, et le quarante-sixième meurtre de l'année vient d'être commis sur le territoire du SPVM. Dans un hangar souterrain jouxtant le tunnel ferroviaire sous le mont Royal, un amas de cendres et des cerceaux d'acier ont été retrouvés. Seraient-ce les traces d'un suicide ? Jérôme croit qu'il s'agirait plutôt du supplice du collier, une sorte de vengeance populaire qui consiste à passer un pneu autour du cou de la victime, à y verser de l'essence et à y mettre le feu. À part les quelques dents retrouvées, Jérôme a bien peu d'arguments à offrir pour défendre sa thèse. Ce qui ne l'empêche pas de s'obstiner.

Biographie de l'auteur.e

Né à Edmundston, au Nouveau-Brunswick, le 3 février 1951, Jacques Savoie obtient une maîtrise en lettres modernes de l'université d'Aix-en-Provence en 1972 et publie la même année L'Anti-livre, suivi des romans Raconte-moi Massabielle (1980, Prix de l'Association francophone internationale), Les Portes tournantes (1984, prix France-Acadie, sans compter une nomination aux Prix littéraires du Gouverneur général). Suivront Le Récif du Prince (1986), Une Histoire de cœur (1988), « La trilogie du cirque bleu » : Le Cirque bleu (1995), Les Ruelles de Caresso (1997) et Un train de glace (1998), ainsi que Les Soupes célestes (2005) et Cinq secondes (2010), qui lui vaudra la même année le prix Saint-Pacôme du roman policier. Il a également publié six romans jeunesse, dont Toute la beauté du monde (1995, nomination aux Prix littéraires du Gouverneur général). Leader du groupe Beausoleil Broussard (Prix de la Jeune Chanson française, Paris, 1978), Jacques Savoie réalise en 1983 une adaptation cinématographique de son premier roman, Raconte-moi Massabielle (1er prix au Festival du film de l'Atlantique). Par la suite, il scénarise en 1988 Les Portes tournantes, dont Francis Mankiewicz signe la réalisation (Prix œcuménique, Festival de Cannes). Suivent d'autres scénarios, pour la télévision : Passage nuageux (Radio-Canada, 1987) ; Bonjour Monsieur Gauguin (Télé-Québec, 1988) ; Le Violon d'Arthur (Radio-Canada, 1991) ; Joseph-Armand Bombardier (minisérie, Télé-Québec, 1992, prix Gémeaux de la scénarisation) ; Les Bâtisseurs d'eau (minisérie, Radio-Canada 1997) ; Les Orphelins de Duplessis (minisérie, Radio-Canada, 1997, Fipa d'or à Biarritz) ; Ces enfants d'ailleurs II, (réseau TVA, 1998) ; Rue l'Espérance (téléroman, réseau TVA 1999-2001) ; René II (minisérie sur la vie de René Lévesque, Radio-Canada, 2008) ; Les Lavigueur, la vraie histoire (Radio-Canada, 2008, prix Gémeaux de la scénarisation, Fipa d'argent à Biarritz et La Rose d'or à Lucerne). En 2009, il signe le scénario de Pour toujours les Canadiens, le long métrage célébrant les cent ans du Canadien.

Quatrième de couverture

Jérôme Marceau est maintenant à la tête des homicides, et le quarante-sixième meurtre de l'année vient d'être commis sur le territoire du SPVM. Dans un hangar souterrain jouxtant le tunnel ferroviaire sous le mont Royal, un amas de cendres et des cerceaux d'acier ont été retrouvés. Seraient-ce les traces d'un suicide ? Jérôme croit qu'il s'agirait plutôt du supplice du collier, une sorte de vengeance populaire qui consiste à passer un pneu autour du cou de la victime, à y verser de l'essence et à y mettre le feu. À part les quelques dents retrouvées, Jérôme a bien peu d'arguments à offrir pour défendre sa thèse. Ce qui ne l'empêche pas de s'obstiner. Sur le plan personnel, Jérôme traverse une période difficile. Après la disparition de sa mère, il a comblé le vide en se rapprochant de Gabriel Lefebvre, le jeune homme tourmenté qu'il avait rencontré au cours de sa précédente enquête. L'opiniâtreté de Jérôme Marceau à poursuivre ses recherches ainsi que la mission qu'il s'est donnée de neutraliser les élans de violence de Gabriel finissent par se confondre. Cette situation réveillera en Jérôme une soif de représailles aussi vive que celle de son « fils emprunté ».