couverture

Russes blancs (Les)

Jevakhoff, Alexandre

  • Éditeur : Tallandier
  • Collection : Texto
  • 622 pages
  • ISBN 9782847347692
  • Paru le 9 mai 2011
  • 22,95 $ *
  • Histoire

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Résumé

15 mars 1917, Nicolas II abdique : le tsarisme s’effondre. Près d’un million et demi de monarchistes, de socialistes révolutionnaires, d’aristocrates, d’officiers et de jeunes lycéens, se retrouvent exilés dans une « Russie hors frontières ». Trois temps, autant d’interrogations, rythment leur épopée. Faut-il partir ? Pendant que certains combattent dans les armées blanches, d’autres quittent la fournaise pour, croient-ils, mieux revenir. Mais comment revenir ? La dernière armée blanche est vaincue fin 1920. Dispersés, les Russes blancs rêvent d’en découdre avec les « Rouges » et comptent sur l’Europe pour les aider. Finalement, avec la reconnaissance de l’URSS, en 1924, par la plupart des capitales occidentales, les Russes blancs, « étrangers sur la terre », s’enfoncent dans l’ombre de l’histoire.

Biographie de l'auteur.e

Alexandre Jevakhoff, ancien élève d’HEC et de l’ENA, a contribué à plusieurs ouvrages collectifs sur la Turquie contemporaine. Il est notamment l’auteur des Russes blancs (Texto, « 2011 ») et du Roman des Russes à Paris (2014).

Quatrième de couverture

15 mars 1917, Nicolas II abdique : le tsarisme s’effondre. Près d’un million et demi de monarchistes, de socialistes révolutionnaires, d’aristocrates, d’officiers et de jeunes lycéens, se retrouvent exilés dans une « Russie hors frontières ». Trois temps, autant d’interrogations, rythment leur épopée. Faut-il partir ? Pendant que certains combattent dans les armées blanches, d’autres quittent la fournaise pour, croient-ils, mieux revenir. Mais comment revenir ? La dernière armée blanche est vaincue fin 1920. Dispersés, les Russes blancs rêvent d’en découdre avec les « Rouges » et comptent sur l’Europe pour les aider. Finalement, avec la reconnaissance de l’URSS, en 1924, par la plupart des capitales occidentales, les Russes blancs, « étrangers sur la terre », s’enfoncent dans l’ombre de l’histoire.