couverture

Chroniques d'une mémoire infidèle

Pourcel, Gérard

  • Éditeur : Éditions de la Pleine lune
  • Collection : Plume
  • 164 pages
  • ISBN 9782890242142
  • Paru le 12 mars 2012
  • 21,95 $ *
  • Littérature québécoise

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Résumé

Esprit libre, mal à l’aise avec toutes les rectitudes politiques et morales, Gérard Pourcel puise son inspiration dans le terreau social et humain. Les onze nouvelles de ce recueil nous transportent de la Côte-Nord au Village gai de Montréal, des États-Unis au Mexique, en passant par Cuba et le Maroc… Mais au-delà de l’exotisme des sables brûlants et des hivers enneigés, c’est un voyage au cœur de l’humanité que nous propose l’auteur. Passions, idéaux, sentiments nobles et moins nobles, sensualité, séduction, désir. Tout ce qui fait le piquant de la vie, en quelque sorte. Un parcours audacieux, souvent empreint d’humour, qui explore les arcanes de la sensibilité gaie.

Biographie de l'auteur.e

Breton d’origine, Gérard Pourcel vit au Québec depuis 1977. Ses emplois successifs l’ont amené à vivre à Alma, Jonquière, Montréal, Baie-Comeau. Il a été enseignant avant d’occuper divers postes dans le milieu des médias et des communications : il fut directeur général du Salon du livre du Saguenay-Lac-Saint-Jean, agent culturel au ministère des Affaires culturelles à Chicoutimi (1992-1994), directeur général de Communication-Jeunesse à Montréal (1994-1997). En poste à Baie-Comeau depuis 1997, il est conseiller en développement culturel au ministère de la Culture et des Communications. Il avoue écrire peu, mais l’écriture est toujours au centre de ses préoccupations. Il obtient le prix de la Plume saguenéenne en 1984 pour sa nouvelle « Pas de café pour Émile ». Son premier recueil, Le Dernier Été balkanique, paraît en 1989. Au cours des vingt dernières années, plusieurs de ses nouvelles sont parues dans le collectif Un lac, un fjord, un fleuve et dans diverses revues littéraires.

Quatrième de couverture

Il faut un regard pour se souvenir des êtres avant que le flot frénétique de la vie les engloutisse ou que la mort efface leur trace, comme la marée les pas éphémères sur la batture. Il faut une mémoire pour témoigner de leur passage et tenter de dire ce qu’ils furent.