couverture

Garçon qui savait lire (Les Voyageurs, tome 2) (Le)

Côté, Héloïse

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Résumé

Malgré les embûches, Neros a retrouvé Enan, son jumeau de Lumière. Le nouvel objectif de « Celle-qui-rassemble » est donc maintenant de rejoindre au plus vite son clan, qui doit partir incessamment vers le nouveau monde.  En compagnie du jeune Licien et de Maris, l’ancienne flamme d’Enan, Neros sait que le périple vers la sylve de Navidin ne sera pas de tout repos, car les Ombres contrôlent toujours plus d’Enflammés au Daëlisar. Pourtant, c’est au terme de la route que Neros vivra son plus grand choc : un drame a frappé son clan et les coordonnées permettant aux Portes de Lumière de s’ouvrir sur le nouveau monde ont été perdues !  Pour récupérer ces données cruciales, Neros et ses amis devront se lancer à la recherche de la dernière personne à les posséder : l’exploratrice Satiacelos. Or, coup sur coup surviennent la disparition surprise de Neros – est-ce en rapport avec les énigmatiques Crépusculaires ? – et une attaque de brigands qui consterne Licien, car l’Am-Mê Maurision, dominé par les Ombres, a promis une forte somme pour sa capture.  Mais si les Daëls ne sont que des pions dans le combat qui oppose les Ombres et la Lumière, Licien, quant à lui, possède une arme secrète : sa capacité à déchiffrer les livres des Voyageurs !

Biographie de l'auteur.e

Héloïse Côté a commencé très tôt à écrire des histoires nourries par sa passion pour la mythologie, les contes et les légendes. Entre 2004 et 2006, elle publie chez Alire sa première trilogie de fantasy, « Les Chroniques de l’Hudres », pour ensuite rédiger Les Exilés (2008) et La Tueuse de dragons (2010), qui rem­portera les prix Jacques-Brossard et Aurora/Boréal 2011. Tout en travaillant sur les premières versions de la trilogie « Les Voyageurs », elle obtient une maî­trise et un doctorat en fondements de l’éducation de l’Uni­versité Laval, effectue un stage postdoctoral au Centre de recherche en éthique de l’Université de Montréal (CRÉUM) et écrit de nombreux articles scientifiques et professionnels, ainsi que Langue et culture dans la classe de français. Une analyse de discours, en collaboration avec Denis Simard (Presses de l’Université Laval, 2007).  En 2006, l’Association des diplômé(e)s de l’Uni­versité Laval lui décerne la Médaille Raymond-Blais, qui souligne le mérite d’une jeune diplômée (moins de 35 ans) s’étant illustrée de façon remarquable dans sa carrière naissante.  Depuis 2010, elle partage son temps entre l’écriture et l’enseignement à la Faculté des sciences de l’éducation et à l’École de langues de l’Université Laval.