couverture

Ce sera tout

Gay, Michel

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Résumé

L'auteur (ou serait-ce son alter ego ?) qualifie son livre de « machin-bouquin ». Il n'a pas fait, en tout cas, un roman comme les autres. Ses errances, ses réminiscences, ses « fragments de discours amoureux » sont scandés par des notes de bas de page chicaneuses, parfois signées par lui, mais aussi, souvent, par un éditeur colérique, un chargé de projet désemparé, une correctrice narquoise ou une infographiste grincheuse. Tout cela pourrait donner le tournis, mais pas du tout : le récit a été construit avec une précision d'horloger. Au-delà du dispositif qui lève le voile sur les métiers de l'édition - et sur le métier d'auteur au premier chef - Ce sera tout est le lieu d'un romantisme pudiquement désespéré et d'une vraie réflexion sur l'écriture et la lecture.

Biographie de l'auteur.e

Michel Gay est né à Montréal en 1949. Après avoir enseigné pendant quelques années, il a surtout travaillé dans le domaine du livre : d'abord à l'Union des écrivains québécois, plus tard à l'Association nationale des éditeurs de livres, puis aux Éditions Fides. Cofondateur et codirecteur de la revue La Nouvelle Barre du jour et des éditions du même nom, il a aussi été longtemps directeur de la collection de poche « Bibliothèque québécoise » (BQ). Au tournant des années 1990, il a par ailleurs oeuvré dans le domaine de la muséologie, notamment au Musée de la civilisation à titre de directeur des activités culturelles. Des textes de Michel Gay ont paru dans bon nombre de revues du Québec et d'ailleurs, et certains ont été diffusés à la radio de Radio-Canada. Il a publié plusieurs recueils, dont Éclaboussures chez VLB éditeur et Calculs dans la collection « Rétrospectives » des Éditions de l'Hexagone.

Quatrième de couverture

L'auteur (ou serait-ce son alter ego ?) qualifie son livre de « machin-bouquin ». Il n'a pas fait, en tout cas, un roman comme les autres. Ses errances, ses réminiscences, ses « fragments de discours amoureux » sont scandés par des notes de bas de page chicaneuses, parfois signées par lui, mais aussi, souvent, par un éditeur colérique, un chargé de projet désemparé, une correctrice narquoise ou une infographiste grincheuse. Tout cela pourrait donner le tournis, mais pas du tout : le récit a été construit avec une précision d'horloger. Au-delà du dispositif qui lève le voile sur les métiers de l'édition - et sur le métier d'auteur au premier chef - Ce sera tout est le lieu d'un romantisme pudiquement désespéré et d'une vraie réflexion sur l'écriture et la lecture.