couverture

Sang des pierres (Le)

Ryckebusch, Lucille

  • Éditeur : Le Quartanier
  • Collection : Série QR
  • 140 pages
  • ISBN 9782896984565
  • Paru le 23 septembre 2019
  • 18,95 $ *
  • Littérature québécoise

* Les prix de nos produits sont sujets à changements sans préavis.

Résumé

Cette histoire est celle de Jeanne. C’est elle qui la raconte. Pour soulager son cœur, expulser sa colère, ne plus être triste. Son histoire, elle l’adresse à celui qu’elle a aimé. Celui qui ne l’aime plus. Celui qu’elle voudrait oublier, enfouir sous le sable de Cape Cod, avec tous les souvenirs qui lui sont associés. Sa maladie, son sang, leur noyade. Hantée par la figure de Virginia Woolf, Jeanne imagine se consoler dans le déferlement des vagues. Elle raconte les hémorragies utérines qui soulèvent le corps, l’engloutissent et le recrachent un peu plus vide, un peu plus lourd. Elle parle de sa fatigue d’être mère et des enfants qu’elle désirait, qu’elle ne pourra plus avoir. Pourtant, quelque chose se passe à mesure que Jeanne se raconte. Les morceaux épars de sa vie s’assemblent, deviennent plus réels, cessent de lui appartenir, la quittent. Mais les blessures ne s’effacent pas, et pardonner est impossible.

Biographie de l'auteur.e

Lucille Ryckebusch est née en 1980 dans le nord de la France et vit à Montréal depuis 1998. Elle a complété une maitrise en études littéraires avec concentration en études féministes à l’Université du Québec à Montréal et poursuit un doctorat dans le même domaine. Le sang des pierres, paru au Quartanier en 2019, est son premier livre.

Quatrième de couverture

Cette histoire est celle de Jeanne. C’est elle qui la raconte. Pour soulager son cœur, expulser sa colère, ne plus être triste. Son histoire, elle l’adresse à celui qu’elle a aimé. Celui qui ne l’aime plus. Celui qu’elle voudrait oublier, enfouir sous le sable de Cape Cod, avec tous les souvenirs qui lui sont associés. Sa maladie, son sang, leur noyade. Hantée par la figure de Virginia Woolf, Jeanne imagine se consoler dans le déferlement des vagues. Elle raconte les hémorragies utérines qui soulèvent le corps, l’engloutissent et le recrachent un peu plus vide, un peu plus lourd. Elle parle de sa fatigue d’être mère et des enfants qu’elle désirait, qu’elle ne pourra plus avoir. Pourtant, quelque chose se passe à mesure que Jeanne se raconte. Les morceaux épars de sa vie s’assemblent, deviennent plus réels, cessent de lui appartenir, la quittent. Mais les blessures ne s’effacent pas, et pardonner est impossible.