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D'où surgit parfois un bras d'horizon

Desautels, Denise

  • Éditeur : LE NOROÉT
  • Collection : Poésie
  • 182 pages
  • ISBN 9782897660123
  • Paru le 10 octobre 2017
  • 25,00 $ *
  • Poésie

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Résumé

Partout dans ce recueil se croisent des textes lourds de constats et de questions, en vers et en prose, entre lesquels se créent d’étranges dialogues. L‘écriture y est celle d’une poète en constant état de vertige qui choisit de confronter ce vertige dans le poème, dans la langue, sa langue diversement abordée d’un texte à l’autre, afin d’arriver à entrevoir un peu de réel doux. Car on ne sait jamais d’où, de quelle alternance de pronoms, de quel croisement de phrases, de quelle danse ou déviation de mots, de quel ressassement d’images, de quel heurt sonore pourrait surgir ce bras qui accepterait d’apparaître à hauteur de regard pour soigner le réel. L’ouvrir ne serait-ce que sur un soupçon de lumière sans ciel au-dessus, horizontale.

Biographie de l'auteur.e

Née à Montréal, Denise Desautels a publié plus de quarante recueils de poèmes, récits et livres d’artiste, au Québec et à l’étranger, qui lui ont valu de nombreuses distinctions, dont le prix Athanase-David et le Prix de Littérature Francophone Jean Arp pour l’ensemble de son travail et, à deux reprises, le Grand Prix Québecor du FIPTR et le prix du Gouverneur général du Canada. Plusieurs de ses textes ont paru dans des anthologies et ont été traduits dans diverses langues.Elle est membre de l’Académie des lettres du Québec et de l’Ordre du Canada.AU NOROÎT, elle a publié «D'où surgit parfois un bras d'horizon» (2017), «Sans toi, je n'aurais pas regardé si haut. Tableaux d'un parc» (Collection «Lieu dit», 2014), «L’angle noir de la joie» (Collection « Résonance », 2011), «L’œil au ralenti» (2007), «Mémoires parallèles» (Collection « Ovale », 2004), «Tombeau de Lou» (2000), « Ma joie, crie-t-elle» (1996), «Le saut de l’ange» (Collection « Résonance », 1993), «Leçons de Venise» (1992), «Mais la menace est une belle extravagance» (1989), «Un livre de Kafka à la main» (1987), «Écritures/ratures», avec des œuvres de Francine Simonin (1986), «L’écran, précédé de Aires du temps» (1983), «La promeneuse et l’oiseau» (1980), «Marie, tout s’éteignait en moi» (1977).Elle est également la traductrice de «L'architecture de le lumière» d'Antoni Clapés (Collection «Dialogues», 2014).Photographie : Alain Lefort