couverture

Et si la Côte d'Ivoire m'était contée par les éléphantidés

Diakité, Moussa

  • Éditeur : MOUSSA DIAKITÉ
  • ISBN 9782981494900
  • Paru le 9 janvier 2015
  • 17,99 $ *
  • Essais

* Les prix de nos produits sont sujets à changements sans préavis.

Résumé

Durant une décennie, mon pays la Côte d'Ivoire a été défiguré par la bêtise humaine. Un pays où jadis la personne était au centre de la collectivité à laisser place à des cendres de notre identité. Plus jamais ça, belle Côte d'Ivoire. Cette expérience macabre doit nous stimuler nous éléphantidés à pelleter avec sagesse et intellect tout en jetant un regard sur notre cheminement pour trouver le sentier de notre propre devenir dans cette Côte d'Ivoire qui n'appartient pas aux Ivoiriens, mais que ce sont tous nous les Ivoiriens qui appartiennent à la Côte d'Ivoire. Aujourd'hui, les éléphantidés admettent que la connaissance en soi se veut sacrée et ancrée par définition dans l'âme des affranchis et des désinfectés des complexes de l'ignorance. Ce savoir fait fleurir les comportements, aiguise la moralité des peuples, tout en tricotant la cohésion sociale qui habille une nation et la drape de prospérité avec authenticité. Permettons, ne serait qu'un tant soit peu, que la Côte d'Ivoire soit contée par ses éléphantidés.

Biographie de l'auteur.e

Après avoir quitté son Afrique natale en 1989 pour le Canada, plus précisément au Québec. Aujourd'hui, Moussa Diakité muni d'une maîtrise en management, administrateur agréé du Québec, éthicien en devenir, enseigne le marketing et la publicité. Il écrit depuis l'an 2000. Son roman intitulé Et si la Côte d'Ivoire m'était contée par les éléphantidés est son premier qu'il dédie à la Paix entre tous les Êtres.

Quatrième de couverture

Durant une décennie, mon pays la Côte d'Ivoire a été défiguré par la bêtise humaine. Un pays où jadis la personne était au centre de la collectivité à laisser place à des cendres de notre identité. Plus jamais ça, belle Côte d'Ivoire. Cette expérience macabre doit nous stimuler nous éléphantidés à pelleter avec sagesse et intellect tout en jetant un regard sur notre cheminement pour trouver le sentier de notre propre devenir dans cette Côte d'Ivoire qui n'appartient pas aux Ivoiriens, mais que ce sont tous nous les Ivoiriens qui appartiennent à la Côte d'Ivoire. Aujourd'hui, les éléphantidés admettent que la connaissance en soi se veut sacrée et ancrée par définition dans l'âme des affranchis et des désinfectés des complexes de l'ignorance. Ce savoir fait fleurir les comportements, aiguise la moralité des peuples, tout en tricotant la cohésion sociale qui habille une nation et la drape de prospérité avec authenticité. Permettons, ne serait qu'un tant soit peu, que la Côte d'Ivoire soit contée par ses éléphantidés.