couverture

Il était une fois l'amour mais j'ai dû le tuer : musique des Sex pistols et de Nirvana

Medina Reyes, Efraim

* Les prix de nos produits sont sujets à changements sans préavis.

Résumé

Sous le soleil d'une Colombie féroce, Rep tente de se libérer de l'ennui de Cartagena et d'oublier une fille qui l'a abandonné. Il cherche à sculpter sa vie hors d'un réel d'où le rêve est absent, à travers des séjours à Bogota, des amitiés passionnelles et des tentatives artistiques.

Quatrième de couverture

Il était une fois l'amour mais j'ai dû le tuer . Musique des sex pistols et de nirvana . Tu me rappelles un poème que j'ai oublié une chanson qui n'a jamais existé et un lieu où je ne serais jamais allé . « Comme je ne sais pas qui haïr, c'est lui que je hais, comme il n'y a pas de coupable, c'est lui que j'accuse, comme il n'y a pas d'ennemi, je fais de lui mon ennemi. Mon amour est surnaturel, un péché sans Dieu, une série télé sans fin, une nouvelle pub pour de la margarine. Comme c'est moi que je dois tuer, je tue l'amour. Comme c'est moi l'incendiaire, l'innommable, c'est lui que je nomme. Comme je n'ai pas pu dire à une certaine fille combien je l'aime, je le dis au monde entier. ». « Un roman au style vif, cruel, acide. Un roman écrit sur un rythme endiablé qui nous entraîne dans les coulisses de l'univers romanesque hallucinant d'un auteur jeune et talentueux. »
Edward Connolly, Philadelphia Inquirer. « Jamais je n'ai vu autant de vitalité concentrée en si peu de pages. »
Paolo Scolari, Max di Milano.