couverture

Nuit de l'infamie : une confession : roman (La)

Cox, Michael

* Les prix de nos produits sont sujets à changements sans préavis.

Résumé

En octobre 1854 à Londres, le soir de la saint-Crépin, c'est-à-dire le même soir que la bataille d'Azincourt narrée par Shakespeare dans Henry V, le narrateur assassine froidement un inconnu, une sorte de répétition générale du meurtre de Phoebus Daunt, son ancien camarade de classe. L'ouvrage constitue la confession d'Edward Glyver, un être à la fois hypersensible et totalement froid.

Quatrième de couverture

« Après avoir tué l'homme aux cheveux roux, je suis allé chez Quinn m'offrir un souper d'huîtres... » . Ainsi débute l'extraordinaire confession d'Edward Glyver, fin lettré, bibliophile averti, grand fumeur d'opium et assassin à ses heures.. Par une nuit brumeuse d'octobre 1854, près du Strand, à Londres, il vient de tuer froidement un inconnu. Cet acte est la répétition générale du meurtre projeté de celui qu'il appelle son « ennemi ».. Edward Glyver se sent promis depuis toujours à un grand destin. Or une découverte fortuite le persuade qu'il a raison. Un grand destin l'attend, assorti d'une influence et d'une richesse immenses. Et la vie qu'il a menée jusqu'ici n'est qu'un mensonge, à commencer par le nom qu'il porte. Désormais il ne doit reculer devant rien pour recouvrer son identité véritable et l'héritage dont il a été spolié à sa naissance. Désormais le meurtre et la duplicité, l'amour, la trahison et la vengeance vont jalonner la route qui le conduit - qui nous conduit - de Londres, la plus grande ville de l'époque, avec sa splendeur et sa misère, jusqu'à Evenwood, la plus sublime, la plus enchanteresse des demeures d'Angleterre. Mais, à chaque pas, un autre le précède et l'entraîne irrésistiblement : Phoebus Daunt, son ennemi mortel.. La Nuit de l'infamie reflète une formidable fascination pour l'ère victorienne et ses grands maîtres. Ce livre se rattache aux conventions du roman victorien à suspense, avec son intrigue à rebondissements et à sensations fortes. Il rend hommage au pouvoir de la narration et tient le lecteur en haleine de l'étonnante première ligne à la dernière révélation..