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Evoquant le monologue de Koltès intitulé La nuit juste avant les forêts, l'auteur construit le journal d'une nuit, questionnant sa propre avancée : ce qu'elle désigne de la ville, ce qu'elle interroge en soi-même et par quelle écriture. Premier roman.
Des voix donc. Des voix qui creusent de la manière la plus directe et la plus simple la saisie du monde un temps offert à sa profération possible. Alors seulement, voix du dehors (de la ville qui pénètre ici, et qui écrit), voix du dedans (de la langue qui lui répond). Que cette ville, cette époque-là, ce monde qui eut un nom, et qu'on écrit dans son oubli, qu'on écrit dans sa perte, que cette ville et ce monde demeurent, est la seule chose dont nous puissions témoigner..