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Alors que la Grèce est désormais dirigée par de fringants quadragénaires proches des banquiers, le commissaire Charitos mène de front plusieurs enquêtes. L'une concerne un triple assassinat, l'autre un détournement d'argent et la troisième des immigrés qui se dénoncent pour dissimuler des coupables.
Finie, la crise ! La Grèce va mieux !. Hélas, il s'agit d'une fiction.. Désormais, la Grèce est aux mains d'un parti ni-de-droite-ni-de-gauche que dirigent de fringants quadragénaires, amis des patrons et des banquiers.. Et l'argent coule à flots. Mais d'où vient l'argent ?. Aux yeux du commissaire Charitos, tout ça est louche. Comme le triple assassinat d'un cadre supérieur de l'office de tourisme, d'un armateur, d'un journaliste à la retraite sur lequel il enquête. Et ces immigrés qui avouent leur crime avec un empressement suspect ? Seraient-ils des paravents dissimulant les vrais coupables ? L'argent, Charitos n'en aura jamais. Avec sa manie de privilégier ses convictions aux dépens de la discipline, point d'avancement. Mais plus que de monter dans la hiérarchie, nous dit Markaris, l'important c'est de ne pas descendre dans l'estime de ceux qu'on aime.. Et Adriani se déclare fière de son commissaire de mari !.
