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Voici l'enfance des Otori. L'histoire commence lorsque le jeune Shigeru s'apprête à devenir l'héritier du clan. Formé à l'art de la guerre et de la dissimulation, le jeune sire doit faire face aux appétits de conquêtes de l'ambitieux Iida, et aux traîtrises de ses propres oncles. À la bataille de Yaegahara, son destin semble scellé : son père meurt et ses oncles prennent le pouvoir. Mais, préparant dans le secret sa revanche, Shigeru attend son heure... Le cycle du Clan des Otori révèle un Japon féodal redoutable que Lian Hearn fair revivre avec une force évocatrice incomparable. Il trouve son accomplissement avec Le Fil du destin.
Lian Hearn est le pseudonyme d'un auteur pour la jeunesse célèbre en Australie où elle vit avec son mari et leurs trois enfants.Elle est diplômée en littérature de l'université d'Oxford et a travaillé comme critique de cinéma et éditeur d'art à Londres, avant de s'installer en Australie. Son intérêt de toujours pour la civilisation et la poésie japonaises, pour le japonais qu'elle a appris, a trouvé son apogée dans l'écriture du Clan des Otori. Elle y dépeint un univers imaginaire nourri d'alliances secrètes, de guerres, de clans, d'honneur exacerbé, d'amour, de désir et de courage.Elle a choisi l'anonymat pour que le premier roman de sa saga, Le Silence du Rossignol, soit jugé pour lui-même et non en fonction de ses précédentes œuvres pour la jeunesse dont le style était radicalement différent. Elle estime également que l'attention doit être portée sur le livre plutôt que sur l'auteur. La publicité l'a par ailleurs toujours mise mal à l'aise.En juin 2002, quelques temps après que les éditeurs de nombreux pays eurent accueilli à bras ouverts le livre et que les droits cinématographiques eurent été achetés, Gillian Rubinstein admit qu'elle en était l'auteur.Gillian Rubinstein a choisi son pseudonyme en combinant son surnom d'enfance (les dernières lettres de Gillian) et le nom de famille d'un auteur irlandais ayant vécu au Japon à la fin du XIXe siècle, Lafcadio Hearn.