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Des premières généalogies mésopotamiennes et chinoises à l'ordonnance de Villers-Cotterêts, en 1539, qui institue la pérennité des noms patronymiques. Aujourd'hui comme hier, faire sa généalogie est un besoin persistant qu'explique le besoin de retrouver un groupe authentique auquel appartenir de droit, et par là même un terroir.
De l'épopée de Gilgamesh à la Bible, des mythologies de l'Antiquité aux cosmogonies africaines, la question de l'origine s'énonce d'abord par l'énumération des ancêtres. Dans toutes les civilisations et tout au long de l'histoire, la généalogie témoigne du rôle tenu par la famille et de son image. Si sa principale fonction fut longtemps de légitimer le pouvoir héréditaire des rois et de la noblesse, elle apporte aujourd'hui une aide précieuse à l'historien. Mais elle est également un loisir que pratiquent avec enthousiasme un nombre de plus en plus important de chercheurs amateurs, enquêteurs inlassables, de tous âges et de toutes conditions. Reconstruire sa filiation et, pour les plus «mordus», celle des autres, constitue plus qu'un passe-temps, l'inscription dans une lignée, et donc dans la mémoire collective.. Emmanuel de Boos fait comprendre à la fois le rôle des érudits qui ont créé la science généalogique et la passion de ces découvreurs d'archives qui ont pour credo «familles, je vous aime»..