couverture

Nouvelle jeunesse, La

Pasolini, Pier Paolo

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Résumé

Un recueil constitué de deux parties symétriques. Les premiers poèmes, écrits entre 1941 et 1953, célèbrent la mère, la beauté des jeunes garçons et l'élan d'une jeunesse conquérante. Et trente ans plus tard, Pasolini réécrit sur les mêmes thèmes mais dans une sorte de miroir inversé : l'amertume, la haine, la violence et la mort ont remplacé l'énergie, la gaieté et l'amour.

Quatrième de couverture

L'éternel retour prend fin : l'humanité a pris la tangente. De nouveaux «démons» patronnent ce phénomène, et je crois encore, stupidement, à une nouvelle révolution des pauvres. Le Livre demeure, mais la Parole s'en est allée. C'est le pire saint Paul qui avait raison et non l'Ecclésiaste. Le monde est une grande Église grise où il importe peu que les Devoirs soient imposés par l'Hédonè plutôt que par l'Agapè. Le futur tout entier n'est que la codification du développement par le compromis historique..