couverture

Lettre d'amitié, de respect et de mise en garde aux peuples et aux nations de la terre

Aux bons soins de monsieur le secrétaire général de l'Organisation des Nations unies : New York, NY 10017, USA

Sansal, Boualem

  • Éditeur : Gallimard
  • 100 pages
  • ISBN 9782072958212
  • Paru le 16 novembre 2021
  • 22,95 $ *
  • Essais

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Résumé

Manifeste humaniste et athée dans lequel l'écrivain algérien décrit les ennemis mondialisés que sont l'argent et la religion, facteurs d'asservissement, ainsi que les conflits, compétitions et guerres auxquels se livrent les peuples du monde. Il propose une constitution universelle susceptible de servir de base à une future République mondiale fédérant les nations libres.

Biographie de l'auteur.e

Né en 1949, Boualem Sansal vit à Boumerdès, près d'Alger. Son oeuvre a été récompensée par de nombreux prix littéraires, en France et à l'étranger. Il a notamment reçu en 2015 le Grand Prix du roman de l'Académie française. Son dernier roman, Abraham ou La cinquième Alliance, a reçu le prix Méditerranée 2021.

Quatrième de couverture

Lettre d'amitié, de respect et de mise en garde aux peuples et aux nations de la terre

« Pourquoi les humains sont-ils si bêtes ? Pourquoi se laissent-ils traîner par le bout du nez ? Les ânes ont de longues oreilles ridicules par lesquelles ils se font bêtement attraper, mais quand ils ne veulent pas avancer, rien ne peut les forcer à obéir. »

Boualem Sansal adresse aux peuples et aux nations de la terre un manifeste athée, plein d'un humour féroce et rageur, pour les appeler à sortir de l'âge des dieux et à entrer dans celui des hommes. L'humanité doit trouver le moyen de résister aux forces qui la détruisent : les religions et leurs sempiternelles pénitences, l'argent tout-puissant, les passions guerrières, ou encore la mal- bouffe omniprésente sur la planète, symptômes indubitables d'un effondrement des civilisations.

Après un rappel des errements et des crimes du passé, le grand écrivain algérien propose une « Constitution universelle » censée servir de base à la République mondiale qu'il appelle de ses voeux, qui fédérerait les peuples et les nations enfin libres.

Il est temps, nous dit-il, de choisir la vie.