couverture

Lumière, l'encre et l'usure du mobilier (La)

Venet, Emmanuel

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Résumé

Eté 1882. Sigmund Freud, alors âgé de 26 ans, écrit depuis un café de Vienne une lettre à sa fiancée dans laquelle il lui dit qu'il pourrait dissiper sa fortune dans cette auberge à force d'y acheter ce qui s'y vend : la lumière, l'encre et l'usure du mobilier. A partir de cette lettre, l'auteur évoque, dans les 26 chapitres de cet abécédaire, son enfance, son éducation ou encore sa profession.

Quatrième de couverture

La lumière, l'encre et l'usure du mobilier . Au fil d'une mémoire capricieuse, Emmanuel Venet explore le capharnaüm dont nos vies sont faites - chair, paroles, histoire, culture. Avec humour, l'auteur évoque son enfance lyonnaise et son éducation à l'ombre de parents pénétrés de religion catholique et de valeurs conservatrices, son parcours spirituel, ses désillusions amoureuses, ses affinités littéraires, ou encore son expérience de psychiatre.. Si les vingt-six chapitres de cet abécédaire se présentent comme des nouvelles autonomes, de A comme « auberge » à Z comme « Zweig », leur suite dessine - dans une langue splendide frayant entre récit intime, réflexion, anecdotes savoureuses et poésie - un itinéraire, et un monde intérieur fait de pièces et de morceaux, de rencontres et de surprises, de lieux communs et d'événements singuliers..