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Dans cet entretien, l'anthropologue anglaise, dont les travaux sur les chimpanzés ont démontré que l'outil n'était pas le propre de l'homme et que ce dernier n'est pas le centre du monde mais une espèce sapiens parmi les autres espèces vivantes, évoque sa vie et sa carrière, les actualités dramatiques concernant l'état de la planète ainsi que des pistes pour réconcilier les humains et la nature.
Née à Londres en 1934, éthologue, Jane Goodall se considère avant tout comme naturaliste. Elle a reçu de nombreuses distinctions dans le monde entier et a été faite commandeure de l'ordre de l'Empire britannique. Elle a fondé l'Institut Jane Goodall pour la protection de la biodiversité, l'aide au développement durable et l'éducation.
Immense scientifique à la renommée internationale, Jane Goodall est à jamais celle qui a démontré que l'outil n'était pas le propre de l'humain. L'histoire de cette jeune femme vivant avec les chimpanzés en Tanzanie dans les années 50 avait fasciné le monde entier, mais il lui aura fallu des décennies pour faire entendre l'essentiel de sa découverte ; l'être humain n'est pas le centre du monde, mais un individu « sapiens » parmi toutes les espèces vivantes. Cette révolution des mentalités qu'elle a engagée avant tous est désormais réactualisée par les événements dramatiques qui frappent la planète : le réchauffement climatique, la disparition des espèces végétales et animales, mais aussi la pauvreté accrue de populations. Dans ce livre, la célèbre messagère de la paix des Nations Unies s'appuie sur son parcours de vie pour livrer à notre réflexion ses raisons d'espérer. Elle en appelle à un nouveau code moral universel pour relever les défis que font peser les menaces environnementales sur l'ensemble du monde vivant et redéfinir les liens entre l'humain et la nature.