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Au soir de sa vie et jusqu'au mois précédant sa mort, J. Green a écrit chaque jour dans son journal : au fil des événements, de ses lectures, de ses pensées, il a adopté tour à tour un ton poétique ou critique, mêlant sagesse, humour et mélancolie.
«1er juillet. Je dois me rendre à l'évidence, je ne marche plus très bien et je ne m'y résous pas. Les fatigues de l'âge me sont tombées d'un coup sur les genoux. Je suis fort, mais la statue a des pieds d'argile. Du monde extérieur ce qu'on me dit et ce qui me parvient ne me semble pas avoir le moindre intérêt. Les événements sont intérieurs.». Fin du Journal.