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Réflexion d'ensemble sur les apports de la sociologie dans l'étude des arts aux côtés d'autres disciplines (histoire, philosophie, esthétique, etc.). L'auteur aborde les questions relatives aux institutions, aux marchés de l'art, aux publics et à la formation des goûts artistiques, aux pratiques culturelles, aux professions et à la prise en compte des oeuvres en sociologie.
Qu'est-ce qu'une «oeuvre» et comment peut-elle devenir une «oeuvre d'art» ? Qui et quels mécanismes contribuent à définir sa valeur ? Qu'est-ce qu'une «artiste», un «créateur» ? Quel est le rôle de l'État dans la création ? Quels sont les publics des arts ? Et les amateurs ? Qu'est-ce qui construit les goûts artistiques et leur variété ? Et l'absence de goût pour la «culture» ? Pourquoi les arts contemporains font-ils l'objet de nombreux rejets ? Peut-on parler d'art «populaire» ?. Plus généralement, qu'est-ce donc que l'«art» et comment s'inscrit-il dans le social ? Cet ouvrage présente les réponses essentielles de la sociologie à ces interrogations. Il aborde les questions relatives aux institutions et marchés de l'art, aux publics et à la formation des goûts, aux pratiques et professions artistiques. Il décrit également l'histoire de ce domaine disciplinaire ainsi que les débats qui le nourrissent. Il s'arrête sur les manières de faire, la façon de recueillir des matériaux et de les traiter..
