couverture

Maison des feuilles (La)

Danielewski, Mark Z.

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Résumé

Roman où s'entrecroisent plusieurs récits : celui de Johnny Errand qui découvre le manuscrit de Zampano, vieil aveugle, celui de ce dernier analysant un film amateur culte, le Nadvidson Record, et celui du film lui-même. Au centre de tous ces récits, une maison, celle dans laquelle Will Navidson vient d'emménager avec sa famille, plus grande à l'intérieur qu'à l'extérieur.

Quatrième de couverture

!!TL!! La Maison des feuilles . « Je fais encore dés cauchemars. D'ailleurs, j'en fais si souvent que je devrais y être habitué depuis le temps. Ce n'est pas le cas. Personne ne s'habitue vraiment aux cauchemars. » Ainsi parle Johnny Errand au seuil de cette Maison des feuilles, et de poursuivre sa mise en garde :« Ça ne se produit pas immédiatement, mais sans prévenir vous vous apercevrez que les choses ne sont pas telles que vous pensiez qu'elles étaient. ». Livre subversif, livre défendu, le lecteur est prévenu... et bien entendu tenté.. Dans son introduction, Johnny explique comment il a trouvé un mystérieux manuscrit à la mort d'un vieil homme aveugle, décidé de le mettre en forme et de l'annoter de façon très personnelle. Le texte se présente comme un essai sur un film, le Navidson Record, réalisé par Will Navidson, un photoreporter, lauréat du prix Pulitzer. Will, qui vient d'emménager avec sa famille dans une maison en Virginie, filme son installation, réalisant une sorte de « home movie ». Tout s'annonce bien jusqu'à ce qu'il découvre une pièce qui jusqu'alors n'existait pas. Passé l'étonnement, il se rend à une évidence troublante : la maison est plus grande à l'intérieur qu'à l'extérieur. Navidson tente d'explorer les lieux mais, après avoir manqué se perdre, il engage des explorateurs professionnels. L'horreur commence alors. Aussi bien pour les membres de l'expédition que pour le lecteur - lui-même égaré dans le dédale des notes qui envahissent les pages comme un lierre maléfique.. Que cache la maison ? Quel est ce grondement qu'elle émet de temps en temps ? Pourquoi Johnny a-t-il ces cicatrices ? Pourquoi le manuscrit de Zampanò semble-t-il le rendre fou ?. A la fois jeu de piste, récit fantastique, dérive personnelle, essai faussement académique, La Maison des feuilles a pour effet de changer progressivement le lecteur en apprenti sorcier, monteur de salle obscure, détective amateur, spectateur. Une lecture littéralement habitée.. « Ce roman ressemble peut-être au monstre de Frankenstein, mais, comme lui, Il est vivant ! »
The Washington Post. « Le livre de Danielewski est drôle, émouvant, sexy, magnifiquement raconté dans une forme sans cesse changeante. En dépit de ses ressorts postmodernes, La Maison des feuilles est, en fin de compte, un récit d'aventure. »
The New York Times Book Review. « Félicitons Danielewski : il a su transcender en un même livre l'histoire de maison hantée et le roman expérimental. La réussite principale de La Maison des feuilles est la faculté de son intrigue à s'évader de sa prison de papier pour s'infiltrer dans votre esprit - c'est un des rares romans à explorer en profondeur le sens du cauchemar. »
The Independent. « Danielewski est un maître du suspense, et son talent, avec ce chef-d'oeuvre postmoderne et