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Autour du thème de la solitude extrême de l'homme et du musicien, l'auteur du Parfum a construit un monologue tour à tour pathétique et comique.
L'instrument le plus grand, le plus gros, le plus grave de tout l'orchestre est aussi le plus puissant, le plus beau, le plus indispensable, dit d'abord le contrebassiste. Mais bientôt l'éloge pompeux de cette encombrante compagne qui occupe toute sa vie laisse transparaître les frustrations et les rancœurs du musicien et de l'homme. Peu à peu, il la dénigre, il l'insulte, il la maudit, il se révolte, il devient fou.. Comme le héros du Parfum, comme celui du Pigeon, le personnage qui monologue ici incarne une solitude extrême, exemplaire, métaphysique - et dont Patrick Süskind, avec le prodigieux talent qu'on lui connaît, parvient cette fois à nous faire rire aux larmes.. La pièce tient l'affiche depuis des années en Allemagne..