couverture

Mort lente de Luciana B. (La)

Martínez, Guillermo

  • Éditeur : Robert Laffont
  • Collection : Pavillons poche
  • ISBN 9782221124277
  • Paru le 14 février 2011
  • 13,95 $ *
  • Littérature étrangère

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Résumé

Dix ans ont passé depuis que le narrateur, un écrivain, a vu Luciana B., une femme séduisante et gaie qu'il avait aimée. Aujourd'hui, Luciana, terrorisée, l'appelle à l'aide : elle a vu mourir tour à tour la plupart de ses proches et est persuadée qu'il s'agit de l'oeuvre de son ancien employeur, Kloster, un célèbre auteur de romans policiers, qu'elle a accusé de harcèlement sexuel.

Quatrième de couverture

Avec ce court roman, l'auteur de Mathématique du crime s'inscrit dans une veine qui fait autant songer à Borges qu'au dernier Graham Greene. Le récit se déroule dans une atmosphère d'inquiétude car, derrière une série de morts prétendument naturelles et à tout le moins aléatoires, se cachent aussi des crimes virtuels provoqués par l'imagination ensorcelée des protagonistes. Est-ce le narrateur qui nous trompe ? Est-ce l'auteur qui se joue de ses lecteurs comme de ses personnages ? Dès les premières lignes du livre, lorsque le narrateur reçoit un appel au secours de Luciana avec laquelle il a failli, dix ans plus tôt, vivre une «histoire», on se trouve pris, sinon englué, dans une sorte de cauchemar éveillé. Guillermo Martinez est un écrivain subversif !.