couverture

White

Ellis, Bret Easton

  • Éditeur : R. Laffont
  • Collection : Pavillons
  • ISBN 9782221241172
  • Paru le 8 mai 2019
  • 32,95 $ *
  • Essais

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Résumé

Dans cet essai alliant réflexion personnelle et observation sociale, l'écrivain américain, usant sans états d'âme de sa liberté d'expression, évoque les échecs notables de ce début de siècle, qu'ils soient ou non liés à Internet. Il y critique les bénéfices attribués aux réseaux sociaux, dénonçant l'autocensure qui en est le fruit, et défend l'idée d'une vie consacrée à l'authenticité.

Quatrième de couverture

White . Que raconte White, première expérience de « non-fiction » pour Bret Easton Ellis ? Tout et rien. « Tout dire sur rien et ne rien dire surtout » pourrait être la formule impossible, à la Warhol, susceptible de condenser ce livre, d'en exprimer les contradictions, d'en camoufler les intentions. White est aussi ironique que Moins que zéro, aussi glaçant qu'American Psycho, aussi menaçant que Glamorama, aussi labyrinthique que Lunar Park, aussi implacable que Suite(s) impériale(s).. Loin des clichés toujours mieux partagés, plus masqué que jamais, Bret Easton Ellis poursuit son analyse décapante des États-Unis d'Amérique, d'une façon, comme il le dit lui-même, « ludique et provocatrice, réelle et fausse, facile à lire et difficile à déchiffrer, et, chose tout à fait importante, à ne pas prendre trop au sérieux ».. Que raconte White en ayant l'air à la fois de toucher à tout et de ne rien dire ?. Peut-être que le fil à suivre est celui du curieux destin d'American Psycho, roman d'horreur en 1991 métamorphosé en comédie musicale à Broadway vingt-cinq ans plus tard. Ellis a dit autrefois : « Patrick Bateman, c'est moi. » Il ne le dit plus. Et si Patrick Bateman était devenu président ?.