couverture

Jardin des Justes : de la liste de Schindler au tribunal du bien (Le)

Nissim, Gabriele

  • Éditeur : Payot
  • Collection : Documents
  • ISBN 9782228901666
  • Paru le 5 février 2007
  • 39,95 $ *
  • Essais

* Les prix de nos produits sont sujets à changements sans préavis.

Résumé

Portrait de Moshe Bejski qui fut sauvé grâce à sa présence sur la liste d'Oskar Schindler. Emigré en Israël, à partir des années 1960, il s'est mis en quête des hommes et des femmes qui ont choisi de sauver des Juifs de la déportation pendant la Seconde Guerre mondiale. Président de la commission du mémorial Yad Vashem, il s'est battu pour élargir la définition du "Juste parmi les nations".

Quatrième de couverture

«Quelques mois après le brusque réveil qui l'avait ramené à l'époque d'Auschwitz, Moshe Bejski ressentit le besoin de rendre hommage à celui qui lui avait sauvé la vie. Il voulut que le devoir de mémoire ne s'appliquât pas seulement au mal, mais aussi au bien.». Le nom de Bejski, né près de Cracovie en 1920, figurait sur la liste d'Oskar Schindler, qui évita une mort certaine à son millier d'employés. Émigré en Israël et devenu juriste, le rescapé cacha son passé à tous et à lui-même jusqu'en 1961, quand il fut appelé à témoigner au procès Eichmann. Il comprit alors qu'en s'efforçant d'oublier ses tortionnaires il avait aussi oublié son bienfaiteur.. En ces années où Simon Wiesenthal devint chasseur de nazis, Bejski, lui, entreprit de rechercher ces non-Juifs qui avaient sauvé des Juifs. Il devint membre puis président de la commission du mémorial de Yad Vashem, chargée de remercier ces héros. Jusqu'en 1995, il se battit pour élargir la définition du «Juste parmi les nations».. En se confiant à un journaliste, Moshe Bejski n'a pas seulement voulu honorer les vingt et un mille Justes recensés aujourd'hui pour la Seconde Guerre mondiale : il souhaite qu'on en reconnaisse d'autres, qui se sont distingués durant trop de génocides à travers le monde..