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La thèse de l'auteur est que le psychanalyste doit prendre conscience de la haine que suscitent en lui les agressions psychiques de ses patients, puis dépasser ce ressentiment, afin de travailler de façon plus efficace.
Pourquoi certaines personnes ont-elles besoin de se faire haïr pour se sentir aimées ? Un psychanalyste peut-il éprouver de la haine envers son patient ? Et une mère, peut-elle avoir de «bonnes» raisons de haïr son enfant ?. Un essai visionnaire, aussi crucial que La Mère suffisamment bonne, où Winnicott montre que pour soigner et soutenir, il faut parfois être capable de rendre «haine pour haine»....