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Une évocation de Verhaeren, une étude sur la direction d'orchestre d'Arturo Toscanini, un adieu à Rilke, une analyse du génie de Rimbaud, des lectures de Dante, Renan et Sainte-Beuve, etc. Parlant de ses maîtres, Stefan Zweig évoque sa morale, son esthétique et sa conception de la littérature.
Une évocation du poète Emile Verhaeren, une étude sur la direction d'orchestre d'Arturo Toscanini, un «Adieu à Rilke», des notes sur l'Ulysse de Joyce, une analyse du génie de Rimbaud, des lectures de Dante, Renan et Sainte-Beuve, une évocation de la poétesse Marceline Desbordes-Valmore... Tels sont les morceaux, au sens musical du terme, composant ce recueil. Profondeur, élégance et culture gouvernent des pages qui sont autant d'exercices d'admiration. Nous entretenant de ses maîtres, Zweig nous parle aussi de lui, de sa morale, de son esthétique. Il nous convainc que la littérature et, plus généralement, l'art, ne sont qu'un long dialogue, un partage par-delà la vie et la mort avec des présences fraternelles..
