* Les prix de nos produits sont sujets à changements sans préavis.
Face aux Occidentaux oscillant entre fascination (l'Orient de la sagesse) et diabolisation (le péril jaune) à l'égard de la Chine, l'auteur montre qu'il faut d'abord rouvrir sa pensée pour comprendre que les Chinois ont d'autres façons d'agir et de penser que celles pratiquées en Occident : ainsi la pratique de la Chine ne peut se faire en dissociant culture et économie, gestion et réflexion.
«La Chine acquiert de jour en jour plus d'importance. Néanmoins, les Occidentaux continuent d'hésiter entre deux attitudes à son égard : la séduction de l'exotisme et la peur de l'envahissement. Ils oscillent entre fascination et prévention. Du moins ont-ils le sentiment qu'avec les habitants de ce si lointain, si vieux et de nouveau si puissant pays, on ne saurait se comporter tout à fait comme avec les autres habitants de la planète. Sans doute ont-ils raison. Mais alors comment s'y prendre ? Autrement dit, comment entrer en Chine ?. Je crois que, pour nouer des rapports, y compris d'affaires, avec les Chinois, il faut d'abord rouvrir notre pensée - en quoi je me fonde sur le travail de François Jullien. Car on ne peut dissocier gestion et réflexion ; c'est ce que j'ai choisi d'appeler ici, à l'articulation des deux, la "pratique" de la Chine.».
