* Les prix de nos produits sont sujets à changements sans préavis.
Un nonagénaire, dont l'ultime désir est de mourir centenaire et amoureux, écrit ses confessions dans lesquelles se retrouve tout l'univers des récits de Marquez : la vie quotidienne dans les Caraïbes, la solitude de l'homme, les errements des amours contrariées...
Mémoire de mes putains tristes
traduit de l'espagnol (Colombie) par Annie Morvan . « L'année de mes quatre - vingt - dix ans, j'ai voulu m'offrir une folle nuit d'amour avec une adolescente vierge. Je me suis souvenu de Rosa Cabarcas, la patronne d'une maison close qui avait l'habitude de prévenir ses bons clients lorsqu'elle avait une nouveauté disponible.
Je n'avais jamais succombé à une telle invitation ni à aucune de ses nombreuses tentations obscènes, mais elle ne croyait pas à la pureté de mes principes. La morale aussi est une affaire de temps, disait - elle avec un sourire malicieux, tu verras. »
G.G.M..
