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Le phénomène de la corruption a traversé les époques et les sociétés, avec son lot de scandales et d'indignation. Etude de ceux qui la pratiquent, de Talleyrand à François Mitterrand ; de ceux qui la critiquent, de Juvénal à Denis Robert ; et de ceux qui la subliment, de Balzac à Francis Ford Coppola.
Personne n'échappe à la corruption. Elle traverse les époques et les sociétés avec son lot constant de scandales et d'indignation. Les journalistes en trouvent chaque jour un nouvel exemple, et les livres d'histoire en portent partout la marque. En philosophe, Gaspard Koenig part sur ses traces. Parcourant des domaines aussi divers que la littérature, l'histoire, le cinéma ou l'art contemporain, il rencontre ceux qui la pratiquent, de Talleyrand à Mobutu ; ceux qui la critiquent, de Juvénal à Chomsky ; ceux qui la subliment, de Balzac à Francis Ford Coppola.. Au fil de cette recherche, la corruption dévoile ses vertus. Des vertus discrètes, que les bien-pensants nous ont appris à ignorer, mais des vertus essentielles. Car la corruption ne se résume pas à des affaires de pots-de-vin. Au XVIIIe siècle, le philosophe Bernard Mandeville, dans sa Fable des abeilles, imaginait une ruche que la corruption rendait active et prospère. Aurait-il eu raison ?.