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Lance Hansen se trouve dans un motel près de la frontière canadienne, en plein hiver. Sa famille et ses amis le croient en voyage en Norvège, le pays de ses ancêtres qui l'obsède tant, mais il se cache par peur de son frère depuis leur partie de chasse qui a mal tourné.
Un homme pris au piège de sa conscience . L'hiver, la neige, le froid. Lance Hansen se terre dans un motel non loin de la frontière canadienne. Sa famille et ses amis le croient en voyage en Norvège, le pays de ses ancêtres qui l'obsède tant, mais il cherche à se faire oublier et craint son frère, depuis leur partie de chasse qui a mal tourné.. Lorsqu'il sort enfin de sa torpeur et de sa tanière, le vieil Ojibwa Willy Dupree lui donne la clef du chemin des rêves. Swamper Caribou hante dès lors son sommeil troublé et le mène vers le véritable meurtrier. Mais encore faut-il comprendre la voix des anciens et accepter de regarder vers l'avenir.... Avec un grand talent de conteur, Vidar Sundstøl continue de tisser, dans ce roman sombre et puissant, les histoires du passé et l'enquête qui l'obsède. Lance Hansen trouvera-t-il la paix et parviendra-t-il à régler ses comptes avec sa conscience ?. à propos de la trilogie du Minnesota . « Si Terre des rêves est un roman noir, c'est d'abord un roman brillant, tous genres confondus. »
Kurt Hansen, Dagbladet. « Le premier tome de la trilogie du Minnesota est sombre, puissant, avec des zones d'ombre qui vous hantent longtemps après. »
Anne Schäeffer, Bergens Tidende. « Seuls les morts ne rêvent pas est un texte particulièrement habile sur le temps (à la fois historique et métronomique). Au fil de ces deux tomes, la construction policière s'aère et se révèle pour ce qu'elle est : un prétexte. »
Nils C. Ahl, Le Monde des Livres. « Vidar Sundstøl dialogue avec l'univers, a avec la nature un contact physique, immédiat, atteint des hauteurs mythologiques. Des fantômes se glissent entre les lignes. La fatigue, le froid anesthésient les réactions. Voici une tragédie par moins quinze, une fable sobre et grandiose vêtue de Gore-Tex. Le talent y éclate à chaque page, serein, inclassable, évident. Ce lyrisme retenu frappe comme une flèche en plein coeur la cible. »
Eric Neuhoff, Le Figaro littéraire.