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Réflexion sur la globalisation et l'altermondialisation, qui possèdent de bonnes et de mauvaises choses. L'auteur, d'ailleurs, fait l'éloge de l'entre-deux.
Nul ne saurait prétendre dire où nous mène exactement un processus de globalisation déjà bien entamé. Pour éclairer ce futur myope, fait autant de performances économiques brillantes que d'évolutions préoccupantes (délocalisations, basculement vers l'Asie, exubérance de la finance...) et plus encore guider nos choix; la théorie ne dispose que de schémas trop unidimensionnels et par là même excessifs et irréalistes.
. Ainsi, un libre échange qui se voudrait intégral pourrait bien avoir de plus en plus de mal à s'accommoder de l'irruption des pays-continents comme la Chine, l'Inde ou le Brésil. Une finance mal régulée se heurterait à un nouveau risque de système, du fait de sa prise d'autonomie vis-à-vis de l'économie réelle. L'approche altermondialiste elle-même, pour séduisant qu'elle puisse être dans certains de ses aspects est loin d'être exempte de tout biais idéologique.
. En maints autres domaines (Europe, dollar, taxes internationales,...) sévit ce même risque de «jusqu'auboutisme» qui conduit l'auteur à s'en démarquer et à faire l'éloge de l'entre-deux.
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