couverture

Loi du plus faible : généalogie du politiquement correct (La)

Lapied, André

  • Éditeur : Belles lettres
  • ISBN 9782251443058
  • Paru le 1 juin 2006
  • 22,95 $ *

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Résumé

Passe les manifestations incohérentes et parfois cocasses du politiquement correct au filtre méthodologique de la généalogie nietzschéenne. Montre que la force de cette institution vient du fait qu'elle n'est pas un système, n'a pas de fondateur et ne formule pas de doctrine. Dénonce le politiquement correct comme un agrégat de ressentiment, de négation de l'individu et de communautarisme.

Quatrième de couverture

Que pouvez-vous trouver de commun entre la floraison, en toutes saisons, de cinémomètres le long des routes, les tabous qui empêchent d'employer certains mots ou expressions, et la peur des manipulations génétiques ? Le politiquement correct. . Au contraire des religions et des doctrines des siècles passés, le politiquement correct n'est pas un système. Il n'a pas de père fondateur et ne se soucie guère de cohérence interne. Ces caractéristiques rendent plus que jamais indispensable le fait de disposer d'un scalpel bien aiguisé pour mener à bien son analyse. . Ses nombreuses manifestations, parfois cocasses, sont passées, dans ce livre, au filtre méthodologique de la généalogie nietzschéenne. La généalogie recherche les forces qui s'expriment dans le politiquement correct, leur originalité, leur manière de s'imposer, ainsi que le type humain du politiquement correct. . Le précipité obtenu est composé de trois éléments : le ressentiment, la négation de l'individu et le communautarisme. Le ressentiment impose la loi du plus faible, la négation de l'individu éradique toute velléité d'autonomie, et le communautarisme regroupe les moutons politiquement corrects dans leurs troupeaux respectifs. .