* Les prix de nos produits sont sujets à changements sans préavis.
Une journée de juin 1923, à Londres. Clarissa Dalloway, cinquante-deux ans, est une belle femme. En descendant Bond Street pour acheter des fleurs, elle se livre à un monologue intérieur sur ses états d'âme. Un livre dans lequel résonne comme la fêlure de l'angoisse ou le vertige du suicide.
Tôt le matin, tard le soir, Clarissa Dalloway se surprend à écouter le clocher de Big Ben. Entre les deux carillons, une journée de printemps, une promenade en ville, le flux des états d'âme et le long monologue d'une conscience.. Clarissa tente de «sauver cette partie de la vie, la seule précieuse, ce centre, ce ravissement, que les hommes laissent échapper, cette joie prodigieuse qui pourrait être nôtre».. Et pourtant résonne déjà dans ce livre, le plus transparent peut-être de l'oeuvre de Virginia Woolf, comme la fêlure de l'angoisse ou le vertige du suicide..