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En reprenant la méthode et le style des Enfants de Saturne, J.-P. Enthoven tente de décrire ses relations avec l'autre sexe. Il a choisi, pour raconter sa drôle de guerre ou sa drôle de paix, une dizaine d'héroïnes plus ou moins légendaires : Louise de Vilmorin, Nancy Cunnard, Louise Brook, Françoise Sagan..., et une inconnue, dite la dernière femme, qui apparaît au dernier chapitre.
Pourquoi Louise Brooks, au temps de sa splendeur, lisait-elle Proust et Schopenhauer dans les bars de Broadway? Quelle sorte de plaisir Nancy Cunard tirait-elle des supplices que lui réclamait Aragon? Louise de Vilmorin, alias «Marilyn Malraux», préférait-elle l'argent, les sentiments ou les trèfles à quatre feuilles? Comment Freud parvint-il à persuader Marie Bonaparte qu'une femme pouvait jouir par la tête? Est-ce parce que Georges Bataille la métamorphosa en sainte vénéneuse que Laure confondit mystique et débauche? Quel rapport entre Françoise Dorléac et un sablier? L'extravagante Zelda Fitzgerald était-elle une muse ou une jalouse? Une folle ou une folle amoureuse? Quand Françoise Sagan comprit-elle que sa légende était un masque derrière lequel elle pouvait abriter sa mélancolie? Quel homme, enfin, ne serait pas effrayé à l'idée de rencontrer sa dernière femme?
. Un autoportrait en creux, un aveu d'incompréhension parfois, un souvenir de passions partagées, un rêve de rencontres qui n'ont jamais eu lieu. . Josyane Savigneau, Le Monde.. Quelques femmes, un peu de vertige et le siècle est là, ombres et lumières mêlées. . François Nourissier, Le Figaro Magazine..