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Avec son ami Alexandre, Constantin de Slizewicz décide de partir en plein hiver sur les routes de Chine, pour rejoindre Pékin à Lijiang, 4.200 km, au guidon d'un side-car baptisé le Scarabée. Il évoque ses rencontres avec les Chinois d'une Chine réelle. Il évoque le souvenir du consul français Auguste François, de Lucien Bodard, les canonnières sur le Yang Tsé Kiang...
Entre deux reportages pour Le Quotidien du Yunnan, Constantin de Slizewicz décide à l'hiver 2002 de traverser la Chine d'est en ouest, à bord d'un side-car baptisé le Scarabée, piloté par son ami Alexandre. A l'occasion de ce périple durant lequel les deux Français avalent autant de spiritueux que de kilomètres, l'auteur évoque ses dix années vécues en Chine. Une Chine bien éloignée de celle des JO, où l'on ne court pas après un taux de croissance, où les policiers, les patrons de presse, tout comme la jeunesse, la classe moyenne et les paysans trouvent le tao au fond d'une bouteille d'alcool blanc.. Ivre de Chine, Constantin de Slizewicz émaille ce récit truculent du souvenir de figures historiques comme le consul de France Auguste François ou l'écrivain Lucien Bodard, nous fait découvrir des canonnières sur le Yang-Tsé-Kiang et revivre la guerre des Boxers, retrace l'aventure du chemin de fer du Tonkin, des Tigres volants et l'épopée de missionnaires et d'explorateurs qui, comme lui, ont vécu d'amères et inoubliables aventures en Chine..